Je ne sais pas pourquoi j'ai répondu positivement a sa requête et en même temps je ne savais pas comment lui dire non, pourtant il m'a fait
choisir entre trois épreuves et la dernière, me forcer la main sur un sujet dont je lui avait déjà dit que je refuserais toute pratique anale...
Alors la plus facile pour moi et la plus discrète etait le tatouage de son prénom avec un feutre sur mon pubis... Mais voilà qu'il me demandait en plus, de faire le deuxième choix, c'est a dire
du scotch sur les tétons ce qui me déstabilisa, ma robe se prêtait pas a ça et forcement, ça allait se voir, adieu la discrétion et en plus, sur mon lieu de travail, j'ai bien essayer de
contourner ceci mais sa façon de m'apposer, son autorité me faisait comprendre que je ne devais lui obéir, je m'absentais le temps d'exécuter sa demande, devant enlever entièrement, dans mon
bureau, ma robe, je baissa les stores qui donnait sur une ruelle parallèle a la rue et ferma la porte. je dégrafa ma robe qui tomba a mes pieds et à l'aide d'un feutre, marqua son prénom sur
moi... Je pensais aux marquages qu'on imposait sur les animaux au fer rouge en signe d'appartenance a leurs propriétaires et là, je m'étais abaisser a en faire autant. Presque nue, devant le
miroir de mon bureau, je me sentais mal, très mal, je voulais me rebellais comme les esclaves noirs américains lors de la guerre entre le sud et le nord, j'avais en même temps peur de sa punition
alors qu'il était a plusieurs centaines de kilomètres de moi... je me mis a genou comme dompter, j'allais abdiquer devant son autorité que ses mots transités... je resta là, dans cette position
pendant de nombreuses minutes, soumise, en attendant presque qu'il vienne me relever pour que je continue l'épreuve et me mettre une correction si je devenais réticente, je sentais presque son
souffle derrière moi, si présent que je me retourna et en même temps, je sentais la présence d'un autre regard, plus doux comme si il comprenais ma faiblesse...
Je me dirigea vers mon bureau, et j'allais m'assoir sur mon fauteuil, et j'ai pas pu, j'allais reprendre mon rôle de dirigeante et devant lui, c'était un affront, je pris le rouleau de scotch et
retourna devant la glace, j'essayais d'obéir mais pas moyen de faire tenir le ruban sur ma peau, je remis ma robe et coinça celui ci entre le tissus et mes seins... Je m'en sortais bien, rien ne
se voyait a part mon attitude maladroite du a la peur d'affronter le regard des clientes, de mes vendeuses... Et me dit, il aurait pu aller plus loin et me demandait d'être nue sous ma robe, trop
courte pour ne pas risquer d'être vu, surtout que ce soir, je devais affronter les transports en commun, ma voiture étant chez le concessionnaire pour une révision et la réparation de l'empreinte
que m'avait laisser en cadeau un automobiliste indélicat.... La journée passa et dans le bus, le rempart que me procurer ma veste me rassurait, et dès l'arriver tardive a mon appartement, et
rassurante, a cause de ce café en bas de chez moi qui déborder de clients complétement saoul ce qui les rendait collants et agressifs, je me déshabilla et pris une douche chaude pour enlever
cette marque d'appartenance a un garçon, ne sachant plus si j'allais aller plus loin avec lui, même si ses gages n'était pas si important, discret, je me sentais si nul, si abaissé devant lui que
comme avec l'histoire des bas, j'étais mal, très mal et aussi si excité que je voulais que ce troisième gage soit plus dure, avec de l'exhibition, je voulais me montrer devant un public
involontaire et inconnu que j'étais soumise sexuellement a quelqu'un... Je suis folle de penser ça, alors que je savais que j'allais souffrir de lui obéir, je voulais qu'il me laisse tranquille
et en même temps, je voulais qu'il me punisse d'avoir eu ces pensées négatives a son sujet, j'avais besoin de temps pour comprendre les raisons qui me poussaient a obéir, j'aimerais que quelqu'un
m'explique ce qui fait qu'on a besoin de se soumettre... Pourquoi se sentir abaisser procure une excitation, un plaisir.... et pourquoi, un maitre a du plaisir a dominer une personne et le fait
parfois a l'extrême? Pourquoi ce désir de souffrance et pourquoi cette souffrance donne autant de plaisir a l'esclave qu'a son maitre.... ???
Après cette expérience, j'ai décidé de ne plus continuer avec lui, c'est dans ma nature et c'était déjà la cause de
mon échec avec le précédent maitre. Je ne peux pas me faire a l'idée d'appartenir a un homme, c'est ainsi... Deja sentimentalement, je suis perdu alors lui faire don de mon corps, au point d'en
faire ce qu'il veut, non, du moins pas comme ça, je n'arrive plus a rester maitre de la situation et ça me fait peur... Devenir l'objet d'un homme, ça me dérange pas pour un soir mais pas ainsi,
m'abaisser a avoir sa marque sur moi, non, ça, je peux pas... Par contre, le faire pour une femme, là c'est différent... Etre sa chose, sa chienne et m'exhiber pour elle, me soumettre a ses
fantasmes et le montrer même en public, oui et sans tabous.... Et aussi, la soumettre a mon tour, j'en suis capable par contre, si je soumettais un homme, je le ferais uniquement pour me venger
de ce que l'un d'entre eux m'a fait et je préfère pas tenter cette expérience...